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Aujourdhui, l’usage du mobile dépasse celui du PC (soit 51,3 % de l’utilisation d’Internet dans le monde) et plus de 75 % des Français sont équipés d’un smartphone d’après un récent baromètre publié par la Mobile Marketing Association en France. Le mobile prend de facto une place de plus en plus importante dans le secteur des enquêtes et des sondages. Les mobinautes sont
Nombreusesanimations pour toute la famille qui débuteront à 14h30 : Jeux bretons, sonneurs, théâtre de rue, avec les troupes Ar Vro bagan, les 7 bras, Rive gauche pour des spectacles et reconstitutions historiques en costume, déambulations découverte du Douar Bihan. 17h30 arrivée des bateaux, cortège avec sonneurs. A partir de 19h : restauration sur place, chants de marins,
CréditsPixabay. Et parmi ces expressions il y en a jusqu’à 17 qui expriment la joie.. La joie, l’émotion qui a le plus d’expressions faciales. L’étude a montré par exemple qu’on n
Lancéil y a deux ans sur Facebook et sur smartphone, le jeu Candy Crush Saga, qui consiste à aligner des petits bonbons acidulés, a été téléchargé plus de 500 millions de fois.
Danscette époque de surconsommation des écrits numériques et des échanges virtuels, il se dégage un moyen de partager, d’apprendre, de communiquer qui nous permet de ne pas être accaparé par un écran, de rester mobile, de faire autre chose en même temps, de transmettre des émotions, de participer en direct ou en différé à des conversations diverses :
DesÉmotions Qu'on Transmet Par Smartphone: EMOJIS: Tu L'as Dit __ ! BOUFFI: Guitares À Tessiture Grave: BASSES: Il Tient La Tête Au Chaud: BONNET: Pâturage D'altitude: ALPAGE: Fruit Qui Pousse En Grappes: RAISIN: Mesurent La Vitesse En Navigation: NOEUDS: Le Vendredi Tout Est Permis Avec Lui Sur Tf1: ARTHUR: Forte Pluie Qui S'abat Soudain : AVERSE: A venir.
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Sortir son smartphone pour filmer l'horreur, un réflexe très humain TRIBOUILLARD Les photos prises par des témoins des attentats de Bruxelles ont circulé immédiatement mardi sur les réseaux, puis très vite sur les télévisions et autres médias. Le quotidien Libération a ainsi fait sa Une avec une photo amateur. "Les gens comprennent immédiatement ce qui se passe et savent qu'ils sont les témoins privilégiés de quelque chose que tous vont regarder. Ils savent aussi qu'il faut des gens pour filmer, car eux-mêmes avaient auparavant guetté de telles images sur les réseaux. Ils ont l'impression d'être utiles, d'agir, et ont envie faire partie de l'événement, de dire +j'y étais+", résume Nicolas Vanderbiest, doctorant spécialiste des réseaux sociaux à l'Université catholique de Louvain. "Ce besoin de raconter un événement exceptionnel, d'en faire partie, d'attirer l'attention des autres avec son récit, est un besoin humain fondamental", souligne Stéphane Rusinek, professeur de psychologie à l'Université de Lille 3. "Et plein de gens sont tentés de rester davantage sur place pour avoir plus à raconter". Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Certains réflexes sont presque devenus des habitudes en cas d'attentat. "Sur les trois attentats traumatisants en Europe, une mécanique s'est mise en place des dessins envoyés, un hashtag ou un graphisme à partager, on transcende son avatar en l'habillant d'un drapeau, on se signale "en sécurité" sur Facebook... Bien plus qu'une dimension narcissique, c'est un besoin de chaleur humaine, de se parler, de se rassembler", précise Benoît Raphaël, spécialiste des réseaux sociaux. "Après le danger immédiat qui fait fuir, dès que l'on est un peu en sécurité, on prend une photo", commente M. Rusinek. Il y a un sentiment de devoir faire savoir ce qui se passe, pour protéger les autres. Cela permet de gérer l'angoisse". "Le succès du slogan. Jesuischarlie" restera unique, car c'était spontané. Depuis, on s'organise", relève Nicolas Vanderbiest, qui suit de près la formation des hashtags devenant des points de ralliement. Bruxelles a été utilisé dans 6 millions de tweets contre la veille. Tousensemble n'a recueilli que tweets. Puis sont venus jesuisbruxelles PrayforBrussels et Prayforbelgium" mais surtout stopislam un nombre élevé mais cité très souvent pour dénoncer ce slogan lancé par l'extrême droite, analyse-t-il. - Amplifier les peurs ' - "Le fait de filmer quand il y a un événement massif n'a fait que s'accentuer, car les réseaux sociaux sont devenus plus grand public, comme les mobiles et la 4G, qui permettent de transmettre des images en temps réel, que ce soit pour un attentats ou pour des intempéries. Pas parce que les gens veulent en profiter mais pour un besoin de partager, de s'exprimer, de se rassurer, de se dorloter", souligne Benoît Raphaël. "On envoie des dessins, des smileys, des messages, des coeurs... On utilise aussi les réseaux comme un moyen d'entraide, un outil collaboratif, comme dans l'opération Portes ouvertes qui s'est répandue à Bruxelles, comme ça a été le cas à Paris". Mais cette circulation d'images risque aussi d'amplifier les peurs, avertit John Brewer, professeur spécialiste des conflits à la Queen's University de Belfast. Les réseaux sociaux ont "fait s'effondrer le mécanisme de distanciation que nous mettons en place pour nous protéger" de ces événements ultra-violents. "Nous sommes exposés à des traumatismes et des émotions bien plus importants qu'auparavant, car la violence est enregistrée sur les téléphones de gens qui se trouvaient là, ce qui peut traumatiser tout le monde". "Cependant les réseaux nous permettent à tous d'échanger notre détresse, ce qui la rend moins difficile à supporter", nuance-t-il. Pour ce sociologue spécialiste des conflits du Sri Lanka et d'Irlande du Nord, les sociétés peuvent apprendre à vivre avec la terreur. "Les gens poursuivent leur vie normale en essayant de prendre de la distance avec ceux qui souffrent le plus. Mais les réseaux sociaux la gomment". "Cependant, les pires dégâts psychologiques se produisent quand chacun essaie de réprimer ses émotions. Twitter permet à n'importe quel dingue de s'exprimer. Peut-être n'est-ce pas plus mal". Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine Buéno*ChroniqueJean-Laurent Cassely
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